Nous vous parlions précédemment de la transformation de nos métiers pour les rendre plus durables et plus circulaires (https://www.serviplast-industrie.be/transformer-nos-metiers-pour-rendre-le-monde-plus-durable/).
Mais la priorité face à l’urgence climatique n’est-elle pas de commencer par réduire nos émissions de gaz à effet de serre ?
Depuis 2018, nous avons travaillé sur l’efficience énergétique de nos infrastructures (éclairage, chauffage) et de nos équipements (presses d’injection, groupe de refroidissement, compresseurs…).
Nous avons ensuite installé une source de production d’énergie renouvelable grâce au placement de panneaux photovoltaïques. Une première étape évidente de notre stratégie de mix-énergétique à l’horizon 2030 qui vise à tendre vers l’autonomie énergétique.
Mais il nous manquait une vue d’ensemble, un cadre global qui nous permettait de prioriser nos actions et de mesurer objectivement leur impact. Et surtout, de prendre en considération l’ensemble des émissions de nos chaines d’approvisionnements et de distribution.
Ce cadre global, c’est le bilan carbone qui pouvait nous le fournir. Nous nous sommes donc lancés dans la démarche, en choisissant la méthodologie du GHG Protocol.
En 2021, notre bilan était de 2406 tC0². C’était la première fois que nous le mesurions, donc certaines données étaient encore approximatives.
En 2022 et 2023, nous avons amélioré la collecte et le traitement des données pour avoir un bilan fiable : respectivement 2052 tCO² en 2022 et 1885 tC0² en 2023.
Une baisse de 8%, c’est encourageant !
Grâce à ces données, nous pouvons fixer nos objectifs et les actions pour les atteindre.
Une étape dans laquelle s’implique nos équipes au travers d’ateliers participatifs.